Préservons nos côtes

 

Pendant les travaux

Les pylônes supportant les éoliennes doivent être ancrés dans la roche du fond de la Baie. Pour ce faire, des travaux de forage ont été commencés en mai 2021. La réalisation de ces 193 forages est confiée à l’Aeolus (source de la pollution du 13 juin ayant occasionné une nappe d’hydrocarbures de 16 km sur 3 km).
Le buit mesuré pendant ces forages a été mesuré à 204 dB.
Les animaux marins qui subissent ce vacarme sont condamnés à la fuite, s’ils le peuvent, ou à mourir dans d’atroces souffrances. Un dauphin qui subit un tel bruit, par exemple, se fait crever le tympan puis détruire le cerveau.

En prévision de ce carnage annoncé, Madame Ségolène Royal, Ministre de l’Ecologie, a signé 62 dérogations à la protection d’espèces protégées dans la zone Natura 2000 du Cap Fréhel.. Ces honteuses dérogations sont dénoncées par Sea Shepherd dans cette vidéo.

Après les travaux

La rotation des pales d’une aéro-génératrice provoque un phénomène de résonance qui se propage aux pylônes qui soutiennent la structure.

Cette résonance est ensuite diffusée dans l’eau qui est un excellent propagateur de son.

Les animaux marins (poissons et / ou mammifères) ne supporteront pas ce bruit et vont donc soit s’enfuir (pour les plus chanceux) soit mourir écrasés par ce bruit considérable.

Le projet éolien de la Baie de Saint-Brieuc est un projet criminel pour la biodiversité, soutenu par l’état et ses représentants sans tenir aucun compte du carnage qu’il va engendrer.